Sep
12
2013
Le numéro 36 de Compétence Photo est en kiosque. Au menu, un grand dossier sur la photo de studio. C'est un sujet récurrent dans le magazine, notamment au travers des mises en scène ou des séances expliquées. Cette fois, pas moins de 50 pages pratiques vous sont proposées : du portrait, bien sûr, mais également un sujet passionnant intitulé Figer ou décomposer le mouvement grâce au flash.
Compétence Photo n°36 / septembre-octobre 2013

Au menu également les fondamentaux de l'aérophotographie ainsi que les rubriques Droit (Photographier dans un lieu ouvert au public), Vidéo au reflex (Optimiser le rendu des couleurs) et Bricolage (Fabriquer un bâton lumineux autonome de studio). À signaler également l'article de Philippe Rochot qui s'interroge sur les limites de la retouche d'une photo d'actualité.
Quant à moi, j'ai commis deux sujets : le premier est un guide pratique des nouveautés de Lightroom 5, le second un face-à-face entre deux logiciels de conversion en noir et blanc que j'apprécie beaucoup : Sliver Efex Pro et DxO FilmPack. En passant, j'écris actuellement un gros dossier sur un sujet qui risque de beaucoup vous étonner. Vous pourrez le lire début novembre, juste avant le Salon de la photo, et peut-être venir en discuter si j'en fais le sujet d'une intervention au Salon.
Le sommaire en images de ce numéro 36 est disponible sur le site de Compétence Photo.
Commentaires
Les notices juridiques sont en particulier très éclairantes : même si les sujets sont austères, les problématiques évoquées se présentent quotidiennement à toute pratique intensive de la photographie.
Très fan et utilisateur régulier de SEP, j'ai acquis aussi DxO FP mais l'utilise encore très peu: l'article me tente car je souhaiterai combiner les deux pour éviter la répétition, voire la caricature dans les effets (les ciels lourds, les micro-contrastes exacerbés...) si compliqués à obtenir pour un tireur amateur à l'époque argentique et si tentants aujourd'hui. Même Salgado a succombé, c'est dire...
Le face-à-face entre les deux logiciels a montré in fine qu'ils sont plus complémentaires que concurrents. J'utilise pour ma part l'un ou l'autre selon le projet et le type d'image à convertir. Si vous achetez le mag, je serais très intéressé par votre avis sur cet article... :)
Une conversion dans FP4 et/ou une finition dans SEF2 donne des résultats étonnants. On risque de se prendre pour un nouveau Sieff (ou plutôt Jean-Yves Brégand) ou Salgado (ou bien Nathalie Lopparelli) tellement les effets sont faciles et gratifiants.
Un de mes anciens formateurs aimait provoquer en affirmant que dans un bon tirage N&B, il ne doit y avoir ni noir ni blanc mais une gamme de gris plus ou moins denses. C'est évidemment entièrement faux comme disait avec raison Mario Giacomelli. C'est le sujet qui importe, et toutes les interprétations sont possibles : c'est le choix et le tout talent du photographe. J'ai redécouvert grâce à SEP2 toute ma photothèque argentique N&B et j'ai du travail pour les 10 prochaines années...mais quel plaisir d'utiliser un logiciel aussi performant : il faut dire qu'il a été conçu par des photographes amoureux du N&B, et ça se sent.
C'était une digression pour affirmer qu'enfin les amateurs de N&B peuvent retourner au labo sans s'arracher les cheveux sous l'agrandisseur ni se salir les mains dans des mixtures nauséabondes !
Bravo donc pour l'article, mais j'ai quelques doutes quant à la volonté de Google de faire perdurer l'ex-Nik Software.
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