Mar
07
2009
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Écrit par Jean-Michel Dubois
Au fil des versions, l'éditeur graphique de Jasc repris par Corel, est devenu un véritable outil pour les photographes. Je vais passer en revue les aspects les plus intéressants mais aussi les plus agaçants de la version
X2 Ultimate de Paint Shop Pro actuellement commercialisée.
Commençons par évacuer les points qui fâchent
• La multiplicité rapprochée dans le temps des versions, 9, X, X1, X2, X2 Utimate. A chaque fois, les améliorations sont minimes. En dehors d'une fenêtre regroupant les principales fonctions de traitement, elles se résument à une réorganisation des menus, à l'ajout du support des RAW de quelques boîtiers et à l'ajout de fonctions de décoration qui ne nous intéressent que très marginalement. Quasiment tout ce qui sera dit dans cet article est donc valable, à des nuances près, pour toutes les versions depuis la 9.
• Le support partiel de la gestion en 16 bits par couche. En effet, si PSP la propose, nombre de fonctions très utiles aux photographes imposent de rétrograder l'image en 8 bits par couche. C'est le cas de l'outil réglage de l'histogramme, du tampon (assez bien fait au demeurant), des corrections de distorsion, d'aberrations chromatiques ou encore de suppression des yeux rouges ou de lissage de la peau et des plug-in. Il est dommage que Corel se soit arrêté en chemin car PSP avec un support 16 bits complet serait sans réelle concurrence.