Nov
22
2009
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Écrit par Julien Fribaud

En parallèle à
l'article de Jean-Michel Dubois expliquant le fonctionnement de l'autofocus, je vous propose ici une démarche plus pratique, visant à décoder les différents modes autofocus, leur fonctionnement et leur utilité. Par la même occasion, nous verrons les différents types de motorisation AF embarqués dans les objectifs ou les boîtiers, et la manière de les exploiter au mieux en accord avec les différents réglages possibles du boîtier.
Quelles que soient les performances de l'autofocus d'un boîtier, il est en effet important de savoir en tirer le meilleur, et bien souvent un réglage adapté réglera bien des difficultés sans nécessité d'investir lourdement pour un gain limité. Correctement réglé, l'autofocus d'un boîtier réputé poussif permettra d'aller beaucoup plus loin dans l'efficacité qu'un mode automatique qui peut ne pas donner satisfaction en conditions difficiles.
L'autofocus des boîtiers Minolta numériques et celui du Sony Alpha 100 étaient réputés précis mais peu réactifs. L'Alpha 700 a marqué une étape décisive en terme de rapidité et de discrimination, l'Alpha 900 a encore amélioré la sensibilité et la vitesse, et aujourd'hui les Alpha 500 et 550 profitent des progrès en terme de rapidité de calcul pour offrir un autofocus très réactif et précis, malgré un système moins huppé que celui des gammes supérieures.