Mai
12
2013
Compétence Photo n°34 / mai-juin 2013
Ce numéro 34 de Compétence Photo signe un double anniversaire : les sept ans du magazine et les quatre ans de notre collaboration. C'est pour moi un grand plaisir d'écrire à côté de Xavier de la Tullaye, Joëlle Verbrugge, Émilie Lambert, Laurent Hini, Hervé Cafournet, Philippe Rochot et tous les collaborateurs réguliers du magazine. Sans oublier bien sûr Gérald Vidamment, le rédac' chef, et Mikkel Franck, le patron, qui ont fait de ce magazine ce qu'il est devenu au fil des ans. Notez que les plus de 500 pages que j'ai écrites au cours de ces quatre années sont les principales responsables de l'effondrement régulier de mes disponibilités. Vous savez donc à qui adresser vos protestations... ;-)
Dans ce numéro, je propose le premier volet d'un grand dossier sur la gestion des photos. J'y aborde l'organisation, l'importation, le tri, les métadonnées et le catalogage. À l'heure où de lourdes inquiétudes pèsent sur l'accessibilité au plus grand nombre des logiciels d'Adobe et sur la disponibilité de Lightroom hors abonnement au Creative Cloud, ce dossier donne notamment des pistes pour choisir un bon catalogueur.
Le sommaire de ce numéro au contenu très riche est décrit en images sur le site de Compétence Photo.
Commentaires
Mais c'est Madame qui ma fait la surprise de le prendre.
Et je doit dire que je ne suis pas déçus!
Rien n'est à jeter et tous les sujets mon plus.
Enfin 2 articles sorte du lot: La séance studio avec Le Turk (vraiment bluffant) et l'article de notre amie Patrick Moll sur les métadonnées & le catalogage.
La découverte du soft Daminion est vraiment une petite pépite dans le genre, encore merci.
PS: Cher Patrick Moll, as tu un 6ème sens pour avoir rédigé un article comme celui-ci avant les annonces d'Adobe?
Pour ce qui est de Lightroom, n'ayant pas participé au bêta-test de la version 5, j'ai découvert comme vous la sauce à laquelle Adobe a l'intention de nous manger. Donc c'est bien un pur hasard d'avoir choisi ce sujet pour ce numéro...
Souci d'économie ou de rentabilité en mélangeant l'encre noire avec de l'eau du robinet pour imprimer plus en dépensant moins ?
Citation en provenance du commentaire précédent de Zanzibar :
Sans vouloir lancer la polémique sur les économies à quatre sous, Je partage l'avis de Zanzibar, la lecture est parfois difficile pour ceux qui n'ont plus leurs yeux de vingt ans. C'est d'autant plus étonnant que c'est assez variable d'un numéro à l'autre.
Sinon, toujours aussi intéressant.
Ben voyons ! On est tellement mieux quand on ne sait pas ou ne comprend pas.
J'aurais dû mettre une grimace pour aider à la compréhension
L'encre grise pas moins chère que l'encre noire n'enlève rien à l'intérêt du texte, elle le rend simplement plus chiant à lire ou à déchiffrer pour quelques uns… qui, eux, n'aiment pas
Pour le reste, je suis rédacteur chez Compétence Photo, pas maquettiste. Si vous avez des commentaires sur le fond, j'y répondrai bien volontiers.
Edit (15 mai) : après l'agressivité de vos deux premiers commentaires, vous avez choisi de passer au niveau supérieur : l'insulte. C'est le troisième commentaire qui ne sera pas publié en bientôt 5 ans d'existence du site. Félicitations.
Sur Alpha-numérique, la convivialité et le respect mutuel sont de mise. Il existe bien d'autres lieux pour se défouler.
Je suis sûr que je vais encore me régaler en lisant ce magasine.
Bonne anniversaire à toute l'équipe. Continuez!
"tous les sujets n'intéresseront pas tout le monde, mais c'est la loi des magazines." D'accord mais même les sujets dont je ne suis pas un adepte dans ma pratique m'intéresse dans le sens où ils me permettent comprendre les sujets généraux qui seront abordés par la suite.
J'attends la sortie des deux numéros suivants avec impatience et surtout moins d’appréhension que le futur proposé par Adobe.
Oui effectivement, incroyablement complet, ou alors étais je en manque de ce genre d'articles denses et bien écris.
A propos comment fait on si l'on souhaite récupérer des numéros quel'on pas pu ou pas su acheter ?
Pour ce qui est du contenu, je n'ai pas encore eu le temps de passer l'acheter, mais vous m'aviez promis entre autres il y a deux mois la suite de l'article sur les flashs sur lequel on restait un peu sur notre faim (en tout cas pour ma part), j'irai donc voir ça et le reste avec plaisir !
très intéressant et éclairant sur le catalogage, au moins je serais quoi faire si adobe nous fâche avec LR... :(
j'utilise l'option ajouter au catalogue sans les déplacer pour mes raw.
j'arrive un peu tardivement avec mon commentaire, mais cela me taraude d'avoir ton point de vue.
Je me suis jeté comme tant d'autres sur cet excellent numéro de Compétences Photo et j'ai pris toujours autant de plaisir à lire ton article.
Cependant je me suis demandé où j'étais positionné dans ce que tu décrivais.
Effectivement je ne me considère pas comme un photographe "professionnel" ou un amateur très éclairé, loin de là. Je suis un amateur, un petit amateur, sans considérer que ce soit désobligeant.
Du coup, mon besoin est relativement plus léger que ce que tu décris.
Je photographie en raw+jpeg. J'ai assez peu de photos que je classe suivant tes recommandations avec des dossiers et sous-dossiers.
J'ai besoin d'une visionneuse dont j'attends un affichage plein écran, un zoom facile à mettre en oeuvre... et suivant tes conseils d'il y a quelques années sur ce même site, j'ai adopté Fastone Image Viewer. Et patatras ;o) tout s'écroule car elle ne respecte pas les couleurs. Mince... désillusion !
;o)
Mon besoin complémentaire : pouvoir effectivement rajouter dans mes jpeg quelques méta-données, mais assez peu. Du type de ce que tu mets en avant : données descriptives personnelles afin surtout d'immortaliser le contexte de la prise de vue et deuxièmement, pouvoir faire un tri d'images valant le développement du Raw (les étoiles ou autres marques de classement).
Je suis un peu (beaucoup ?) réfractaire à investir dans une base de données que je n'utiliserai jamais (je n'ai pas besoin de mots-clés, car ma photothèque ne sera jamais utilisé en ce sens).
Puis je me sens échaudé par une certaine captivité vis-à-vis d'un éditeur... Adobe par exemple. ;o(
Donc mes besoins : visionner des jpeg, pouvoir ajouter des méta-données dans le jpeg.
Puis un outil pour développer quelques raw, ceux qui, pour moi, en valent le coup, mais surtout pas systématiquement des centaines de photos à la fois.
Et là, je ne me retrouve pas dans le dédale de tous ces logiciels payants proposés. Qu'existe-t-il dans le monde libre, comme développeur raw viable ?
Aucun ?
Ou ma foi, même payant mais qui ne semble pas une usine à gaz avec base de données ?
Les solutions comme Darktable ou Rawtherapee ne sont vraiment pas à la hauteur de Lightroom ?
Fais-je fausse route en raisonnant comme ça ?
Encore merci.
mon dossier ne s'adresse à aucune catégorie d'utilisateurs en particulier, mais vraiment à tout le monde. S'il est désastreux pour un pro de perdre ses photos prises dans un cadre professionnel, ça l'est aussi pour un particulier de perdre les photos de ses enfants ou d'un voyage. Après, dans ce que je propose, chacun peut picorer pour composer son flux de travail en fonction de ce qu'il estime avoir besoin. Idem pour le second volet du dossier qui paraîtra dans le prochain numéro début juillet.
Que tu ajoutes quelques métadonnées ou des centaines, ça ne change rien au fait que tu le feras beaucoup plus simplement et efficacement dans un bon logiciel qui assurera une compatibilité maximum avec les standards et garantira la longévité de ton travail de renseignement. Ne t'inquiète pas pour les bases de données, elles sont transparentes pour l'utilisateur. Quand tu exportes un Jpeg avec Lightroom ou autre, ces métadonnées sont écrites dans le Jpeg, en plus de l'être dans la base de données. Pour les Raw, tu peux demander à écrire les métadonnées sur disque dans un fichier annexe, en plus là aussi de l'être dans la base de données du logiciel.
Je pense qu'un logiciel comme Lightroom cadre très bien avec tes objectifs, car tu n'as pas besoin d'un catalogueur avancé. C'est, avec Aperture, le seul véritable logiciel tout-en-un. Il existe des combinaisons de logiciels gratuits, mais qui produisent une complexité assez décourageante. Darktable et Rawtherapee sont les meilleurs gratuites, mais ils ne sont pas au niveau de Lightroom, Capture One etc., et t'obligent à avoir un autre logiciel pour tes métadonnées.
En fait, ce qui me chagrine le plus dans les raisonnements comme le tien, c'est la dévalorisation sous-jacente de tes photos. Aucune photo du plus grand artiste ne vaut celle de la naissance de ton môme à toi, pour ne prendre qu'un exemple. Même si tes photos ne marqueront pas l'histoire de la photographie, elles ont une importance majeure pour toi et doivent être traitées avec autant de considération que s'il s'agissait d'un chef-d'oeuvre impérissable de Doisneau ou Avedon. Elles méritent donc les meilleurs outils.
j'ajouterais à la réponse faite par Patrick au questionnement (légitime) de Philippe que Adobe a fait un gros effort concernant le prix de LR et, à ce titre, si le photographe "amateur" pouvait jadis hésiter à investir +/- 300€ ce n'est plus le cas aujourd'hui; je pense l'"investissement" dans LR5 reste accessible à tous: même le couple Lihtroom + Photoshop Element et/ou GoogleNik Software n'est plus ruineux et surpasse de loin le(s) logiciel(s) propriétaire(s).
Un grand bravo et beaucoup de respect pour ton dernier paragraphe avec lequel je suis entièrement en phase.
J'ai hâte de lire le n° de juillet de Compétence Photo :wink:
Bah oué, l'arbre mort reste une valeur sûre, loin de la furie désordonnée du Net. Merci à vous, je passe le compliment à mes camarades de la rédaction...
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